"La neize, c'est le désespoir des chats."...
Ze ne sais plus trop à quel poète on doit cette maxime, mais il avait drôlement raison.
La première fois, on trouve ça zoli, plutôt drôle même...
Pensez... Tous ces zadorables petits flocons qui volètent dans tous les sens... On s'imazine tellement bien en train de zouer avec...!
Et ça, c'est zusqu'au moment où la porte s'ouvre enfin...
D'abord, l'air glacial qui s'engouffre dans la maison aurait dû nous zalerter...
Mais comme on est plutôt du zenre courazeuses, mes copines et moi-même, on sort quand même.
L'horreur...
C'est froid, ça mouille, ça vous conzèle les coussinets en moins de temps qu'il faut pour le dire.
On tente alors une manoeuvre de repli... Mais les zumains, ces zaffreux, ils ont refermé la porte derrière nous...
Enfermées dehors, abandonnées à notre triste sort...
Heureusement, à force de miaulements et de zesticulations désespérées derrière la baie vitrée, ils comprennent et nous ouvrent à nouveau.
Ouf ! De retour au chaud...!
Et plus qu'une zose à faire pour occuper notre après-midi pendant que la neize tombe : la regarder tomber... ;-) !
Z'aime pas la neize !!!
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